Le Tourismo Mercedes-Benz permet incontestablement de faire des économies grâce à son aérodynamisme exemplaire. Pour atteindre cet objectif, l’autocar de tourisme va même jusqu’à sacrifier un peu de sa hauteur lorsqu’il atteint des vitesses élevées.
Celui qui danse avec le vent.
L’excellent aérodynamisme du Tourismo Mercedes-Benz permet de faire de précieuses économies de carburant.
La rentabilité maximale est une caractéristique essentielle de l’autocar de grand tourisme Tourismo Mercedes-Benz. Son aérodynamisme exemplaire y est aussi pour beaucoup. Il réduit la consommation de précieuses ressources et diminue les émissions de CO2. Un avantage particulièrement rentable en cette période marquée par les prix exorbitants du carburant. Le Tourismo fend ainsi littéralement le vent et permet des économies à chaque kilomètre parcouru. Et ce, de série et sans contribution du conducteur.
Un design qui fend le vent.
Le Tourismo séduit par son aérodynamisme. Tout d’abord grâce à la forme de base de sa carrosserie qui fait référence dans sa catégorie. Avec une valeur de 0,33, l’autocar de grand tourisme atteint un excellent coefficient de pénétration dans l’air.
Une carrosserie sans jointures.
La forme de la carrosserie à l’aérodynamisme optimisé avec son pare-brise encastré presque sans joints, la fenêtre du conducteur affleurante et les portes à fermeture étanche permettent une excellente pénétration dans l’air, tout en réduisant au minimum les bruits du vent. Les creux étant inexistants, la saleté ne peut s’y déposer ce qui simplifie également le nettoyage du véhicule.
Un arrière à l’aérodynamisme amélioré.
L’aérodynamisme de l’arrière du Tourismo a également été optimisé. La terminaison du toit et les colonnes d’angle s'enfoncent légèrement pour faciliter le flux de l’air et laisser la place à des arêtes déflectrices qui se fondent avec fluidité dans le design de la carrosserie. Tous ces éléments préviennent avec efficacité les tourbillonnements d’air avec leur lot d’inconvénients et diminuent dans le même temps l’encrassement de l’arrière du véhicule.
Un pare-brise bombé.
Au-dessus de l’avant typique du Tourismo s’étend le pare-brise immense et bombé. Il intègre les feux de gabarit et, pourvus de rayons optimisant les flux d’air, se fond sans jointure dans le toit légèrement abaissé comme dans les parois latérales lisses. Il associe ainsi forme aérodynamique perfectionnée et parfaite visibilité pour le conducteur et les passagers.
Des essuie-glaces aérodynamiques.
Les essuie-glaces sans étriers Aquablade se moulent en toute souplesse à la vitre du pare-brise. Les courants d’air peuvent ainsi circuler autour du corps de carrosserie quasiment sans obstacle. L’eau de lavage est amenée directement aux buses d’aspersion des balais d’essuie-glace et permet ainsi un nettoyage optimal du pare-brise tout en diminuant le nombre de cycles de lavage et la consommation de liquide lave-glace.
Climatisation de toit et rétroviseurs extérieurs au design unique.
La climatisation de toit offre également aussi peu de résistance que possible aux courants d’air. Son design est tout aussi optimisé en matière d’aérodynamisme que les bras des rétroviseurs extérieurs. Il en résulte une conduite non seulement plus économe, mais aussi plus silencieuse.
Des composants dissimulés pour réduire la résistance à l’air.
En matière d’aérodynamisme, de nombreux petits détails ont une influence invisible au premier regard. À l’instar des rayons des courbes du parechoc qui ont été adaptés sur le plan aérodynamique. Le coffrage dissimulé du plancher sous le porte-à-faux avant est également un élément typique du Tourismo. Ce stratagème permet de détourner les flux d’air avec une efficacité accrue.
Abaissement automatique du niveau du véhicule.
Une autre astuce invisible : si l’autocar de tourisme adopte une vitesse supérieure à 79 km/h pendant au moins 10 secondes, la carrosserie s’abaisse légèrement de 20 millimètres de façon automatique et sans qu’on le remarque. Une fois la vitesse revenue sous les 70 km/h, elle se relève automatiquement. L’abaissement réduit la résistance à l’air et par conséquent la consommation de carburant et les émissions.